Il n’est pas nécessaire de citer Psyché, tragédie-ballet du même Auteur, pour prouver ce que j’ai avancé, & faire voir que les pieces composées pour des fêtes ne réussissent jamais quand on les livre au public, ou qu’elles n’ont du moins qu’un succès momentané. […] Pour le prouver, il suffit de citer le Mariage forcé, l’Amour Peintre, & la Comtesse d’Escarbagnas, que nous voyons jouer tous les jours sans nous rappeller qu’elles ont été jouées à la Cour avec des ballets.