Il n’y a pas jusqu’à ces deux pauvres gens, Alain et Georgette, choisis par Arnolphe comme les plus imbéciles de leur village, qui n’aient à leur manière la sorte de bon sens qui leur convient.
Il n’y a pas jusqu’à ces deux pauvres gens, Alain et Georgette, choisis par Arnolphe comme les plus imbéciles de leur village, qui n’aient à leur manière la sorte de bon sens qui leur convient.