Mais leur critique, généralement littéraire, ne donne point en somme ce que l’on cherche ici, une opinion juste et définitive sur la morale de Molière. […] Et puis, en même temps, il est navré de l’action de nos théâtres, qui, surtout dans les plus grandes villes, ne cherchent à attirer la foule que par une obscénité à peine déguisée, et par l’étalage en grand de nudités physiques et morales, que la police ne laisserait pas un instant dans la rue.