Elle avait interprété les Horaces de Corneille de la façon suivante : Ce qui fait des Horaces de Corneille un des chefs-d’œuvre de l’esprit humain, c’est que c’est une pièce antipatriotique ; c’est le poème même de l’antipatriotisme. […] Il se sent penseur original et il n’ignore pas, et on le lui fait assez sentir autour de lui, que le penseur original a pour ennemis nés le sens commun d’abord, qui n’aime pas être dérangé dans ses habitudes, ensuite l’homme de génie, qui prend ce sens commun lui-même, pour en faire des chefs-d’œuvre en y mettant sa marque d’artiste.