Il faut convenir cependant que, même dans les chefs-d’œuvre de Molière, on souhaiterait un langage plus épuré, et des dénouements plus heureux. […] Ce Chef-d’œuvre étant tombé, Molière le retira. […] Il faut convenir cependant que, même dans les chefs-d’œuvre de Molière, on souhaiterait un langage plus épuré, et des dénouements plus heureux. […] Son chef-d’œuvre, le Dédain par le dédain (El Desdén con el desdén, 1652, [canegvas italien en 5 actes]), a été imité, adapté ou traduit par Molière (La Princesse d’Élide), Carlos Gozzi et bien d’autres.