Dans cette pièce, ce n’est pas un moine que la femme emploie pour ses messages ; c’est un vieillard qui est amoureux d’elle, et le jeune homme que ce vieillard est chargé de gourmander, est son propre fils. […] Il est ingénieux et piquant sans doute ; mais j’oserai dire aussi qu’il est invraisemblable ; qu’il appartient à ce comique de convention, à ce comique forcé et chargé, qui caractérise la farce plutôt que la véritable comédie.