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81. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

« Il entre une autre fois dans un lieu saint, perce la foule, choisit un endroit pour se recueillir et où tout le monde voit qu’il s’humilie : s’il entend des courtisans qui parlent, qui rient.et qui sont à la chapelle avec moins de silence que dans l’antichambre, il fait plus de bruit qu’eux pour les faire taire ; il reprend sa méditation qui est toujours la comparaison qu’il fait de ces personnes avec lui-même et où il trouve son compte. » Trait faux ou douteux ; Onuphre aurait donc une certaine sincérité puisque, s’entretenant avec lui-même, il se juge supérieur à des libertins ou à des éventés.

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