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77. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Tout en reconnaissant qu’il eût été heureux pour lui de ne plus aimer cette infidèle, il ne pouvait s’empêcher de l’aimer encore : « Quand je la vois (disait-il à son ami Chapelle), une émotion et des transports qu’on peut sentir, mais qu’on ne peut exprimer, m’ôtent l’usage de la réflexion ; je n’ai plus d’yeux pour ses défauts, il m’en reste seulement pour tout ce qu’elle a d’aimable : n’est-ce pas là le dernier point de la folie ?

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