Jean-Baptiste Poquelin, en se faisant comédien, changea de nom, comme c’était le commun usage, et adopta celui de Molière. […] Ce déplacement ne changea guère la fortune de l’Illustre Théâtre. […] La situation est évidemment changée. […] En même temps, la mort du cardinal Mazarin (mars 1661), qui changea la face de la cour, devait exercer une influence considérable sur les destinées du poète comique. […] Comment admettre cependant qu’une possession d’état ait pu ainsi être changée pour satisfaire à de prétendues exigences de famille dont on n’aperçoit d’ailleurs pas trace ?