Moland et qui a eu le don de le faire changer d’opinion touchant la sépulture de Molière, car, dans sa première édition des œuvres du grand poète comique, il s’était très nettement prononcé pour l’inhumation en terre sainte. […] Il y a bien de la fantaisie, de l’imagination, du besoin de trouver du neuf à tout prix au fond de toutes ces prétendues découvertes qui ont la prétention de changer les opinions reçues, et ce n’est pas une médiocre prévention contre leur solidité qu’il ait fallu deux siècles pour les faire et qu’aucun contemporain n’ait songé à rien de pareil.