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137. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Dès lors la carrière de Poquelin fut décidée, et il changea son nom contre celui de Molière. […] Mes bontés ne l’ont point changée. […] — Les conditions de la poésie ont-elles changé dès lors ? […] Mais, si les accessoires ont changé, l’essentiel est demeuré le même. […] Elle en est venue à ce point où les passions se changent en dépits et où l’impuissance se tourne en méchanceté.

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