Sa femme lui donne un second enfant ; les dérèglements de celle-ci amènent une séparation volontaire ; il confie ses chagrins à Chapelle ; ses peines d’amour développent son génie. […] Supportant avec peine le chagrin qu’il ressentait de l’affront qui lui avait été fait, il cherchait l’occasion d’amener Boissat à un combat singulier et de se venger ainsi. […] Si Le Tartuffe occasionna, dès sa première apparition, de pénibles chagrins à l’auteur, La Princesse d’Élide en attira de non moins vifs au mari. […] Mais j’eus le chagrin de voir qu’une personne sans grande beauté, qui doit le peu d’esprit qu’on lui trouve à l’éducation que je lui ai donnée, détruisit en un instant toute ma philosophie. […] » Les chefs-d’œuvre et les folies que nous allons voir se succéder rapidement réfuteront d’ailleurs plus que suffisamment ce prétendu abattement d’esprit, ce découragement, ce profond chagrin.