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66. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Ce fut un grand chagrin pour les siens. […] Le chagrin qu’éprouva sa famille en fut un très vif pour lui. […] Pour Molière ce fut un long et cruel chagrin. […] Pendant que sa verve se répandait ainsi en un rire sans fin, il souffrait à la fois et de ses chagrins domestiques et de la maladie qui devait l’emporter. […] Si les hommes étaient meilleurs, il y aurait moins de plaisir à les observer, et ce plaisir est la grande distraction de sa vieillesse chagrine et morose.

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