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147. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Bafoué dans les satires de Boileau, il en éprouva un vif chagrin, et pourtant, quelques années plus tard, ayant appris que son cruel censeur, demeuré aux eaux de Bourbon plus de temps qu’il ne comptait le faire, se trouvait dans un grand besoin d’argent, il s’empressa de l’aller trouver et de lui offrir deux cents louis.

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