Vous l’allez savoir par le billet qu’elle a écrit à Clitandre : « Pour l’homme aux rubans verts (c’est Alceste), il me divertit quelquefois avec ses brusqueries et son chagrin bourru ; mais il est cent moments où je le trouve le plus fâcheux du monde. » Enfin, les perfidies de Célimène sont découvertes elle s’est jouée de tous ses amants ; ils le savent, ils en ont la preuve écrite. […] Il lui faut cela, sans doute ; mais de plus une femme qui le comprenne, qui réponde à ses sentiments, qui console ses chagrins, qui répande la paix et la sérénité dans le cœur du mari, comme elle met l’ordre dans la maison.