Celui-ci écrit à Eckermann : “Molière est tellement grand, que chaque fois qu’on le relit on se sent pris d’étonnement. […] Après le décès de Molière, disait-il, sa veuve remit au comédien La Grange (mort en 1692) des manuscrits, des papiers que celui-ci dut sans doute laisser à sa veuve.