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164. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Sganarelle, qui se croit l’objet aimé, et déjà le mari, dans le transport de sa vanité satisfaite, donne sa main à baiser à Isabelle : Oui : tiens, baise ma main12… mot sublime, qui n’a d’égal que cet autre à Valère, au moment où celui-ci, cachant sa joie, sort pour se préparer à recevoir Isabelle : …Pauvre garçon !

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