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138. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Plusieurs lecteurs curieux qui lisent un livre, uniquement pour apprendre quelque chose, qui font peu de cas de la forme, et qui ne tiennent nul compte de la recherche et des efforts du langage, vont demander à quoi bon ces passages qui ne sont que des longueurs ; pourquoi, par exemple, quatre longs chapitres à propos de Don Juan et pas un mot de L’Avocat Patelin ? […] En ce cas, vivez chacun de votre côté ; tâchez de vous être un peu nouveaux à vous-mêmes ; attendez, pour répéter vos rôles, que vous ayez quitté l’atmosphère conjugale. — Mais encore une fois, ce n’est pas là la question. […] Si elle affectait de pareilles prétentions, ce serait bien le cas de dire à la comédie : — Connais-toi toi-même ! […] C’était peut-être le cas de vous parler de M.  […] C’est le cas de s’écrier : Quelle indiscrétion !

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