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47. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Il n’y a dans la pièce qu’un seul caractère, auquel tous les autres sont sacrifiés, et ce seul caractère est faux. […] Les deux faces du caractère sont outrées et indéfinies. […] A moins qu’ils ne prétendent connaître les intentions de Molière mieux que ses familiers et ses porte-voix, voilà le caractère d’Alceste fixé ; c’est un caractère comique. […] Alceste a du caractère et pas d’esprit, Philinte a de l’esprit et pas de caractère : c’est le cas de dire que tous deux ensemble ne pèsent pas un homme de bien. […] Cependant l’aventure se noue, les caractères et les cœurs se déclarent.

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