La prose avait déjà déplu dans les cinq actes du Festin de Pierre ; elle choqua plus encore dans une comédie de caractère de la même étendue. […] En fait de grandes comédies, de comédies de caractère, on n’avait encore vu jouer, on n’avait encore applaudi que des pièces en vers. […] Mais, d’après le caractère donné, puisque Harpagon a un équipage et des valets, il est évident qu’il est d’une condition à ne pouvoir s’en dispenser. […] Deux choses sont à remarquer dans la comédie de George Dandin, l’intrigue et les caractères. […] L’intrigue de Pourceaugnac a un autre caractère qui lui est particulier.