Le caractère du méchant, plus que celui du métromane, prêtait à la peinture des mœurs. […] D’où il suit que l’on peut tout leur sacrifier, même jusqu’à la vérité des caractères. […] Les saillies, les mots heureux y abondent et sont toujours d’accord avec l’esprit et le caractère des personnages. […] S’ils lui sont pardonnés, ce sera, sans contredit en faveur de la fine peinture des mœurs et des caractères que souvent on y rencontre. […] L’amour, à les en croire, n’a que peu de prise sur les gens de ce caractère.