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157. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

D’où vient qu’à tout le monde il veut tant la cacher, Et qu’il ne saurait voir personne en approcher? […] Mais si la scène où Orgon est caché sous la table était difficile à amener, était-il plus aisé de l’exécuter ? […] On objecterait en vain que la présence d’Orgon, quoique caché, justifie tout : non ce n’était pas assez ; les murmures éclateraient, et l’on trouverait le tableau beaucoup trop licencieux, si le spectateur ne voulait pas avant tout la punition d’un monstre qu’il est impossible de confondre autrement, et si l’on n’avait pas affaire à un homme tel qu’Orgon, qui a besoin de pouvoir dire au cinquième acte : Je l’ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qui s’appelle vu.

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