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177. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

XIII — F. 112 recto à 133 recto : diverses pièces dont (f. 113) la copie de la traduction partielle du premier livre de Y Iliade de Lebrun ; lire f. 125 verso la consultation du médecin de Stendhal et f. 125 recto les réflexions de Stendhal, 30 juin 1817 : « Tout le mal est pletore, et stagnation du sang dans le côté du cœur »… XIV — F. 134 — 138 blancs. […] Molière passe ici à côté d’une imperfection que Mys[elf] ne saurait pas éviter. […] Péchez plutôt encor de cet autre côté. […] 2º En comiques où l’on rit, et à côté, le nom du personnage duquel on rit.

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