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106. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Molière, pendant longtemps, donnait séparément, d’un côté des farces, d’autre côté des comédies. […] Elle fait de temps en temps une excursion du côté du drame et flagelle les vices ; mais alors elle est plutôt la satire que la comédie. […] Un mouvement du côté du vrai se marque déjà et surtout un mouvement qui écarte de l’ancien idéal. […] L’homme primitif dans ces conditions est vaincu de tous côtés. […] C’en est une encore, et Célimène est du bon côté de la différence.

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