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90. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Par bonheur il lui restait un grand-père maternel qui l’aimait éperdument; aussi ne se quittaient-ils jamais. […] Mais son plus grand bonheur au collège fut de recevoir, avec Chapelle et Bernier, les leçons particulières de l’illustre M. […] Son grand bonheur, c’était d’avoir à former, à élever des âmes. […] Cette œuvre était, d’ailleurs, pour lui un bonheur. […] Cette bonne fille était un vrai bonheur dans la maison de Molière, il trouvait, grâce à elle, son loyer moins sombre...

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