/ 223
222. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Ce charmant Horace, si bien fait pour Agnès, qui a cette candeur des jeunes hommes, la confiance, née au fond de la même ignorance de la vie et de la même générosité de cœur, cet éventé, toujours débordant d’amour et du besoin d’en parler, si bon, si honnête, qui, devant l’ignorance d’Agnès, et les dangers où la fait se jeter la sottise d’Arnolphe, se sentie devoir du respect, qui aimerait mieux mourir que de l’abuser, cet Horace enfin, si tendre, si dévoué, si fou, — Delaunay l’a été si bien, qu’il en a mis un peu dans tous ses rôles.

/ 223