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97. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Les pièces qui nous restent de ce temps-là sont de la même beauté que le lieu où l’on en faisait la représentation. […] Le vieux Corneille lui-même, si pauvre et si fier, venait le voir; et l’aimait, et l’on dit qu’il ne fut point insensible à la beauté d’Armande. […] Sa beauté semblait un mystère, un rêve, une illusion ; mais les urnes n’en étaient, à la voir, que plus profondément troublées. […] Il passe en beauté feu Narcisse, Etc. […] Dans tout l’éclat et la fraîcheur de sa beauté première, n’ayant que dix-neuf ans, il joua d’une manière charmante le rôle de l’Amour.

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