De Pure dit d’elles : Ce sont des beautés, ce sont des muses. […] C’est en effet une aristocratie que la société où le pouvoir passe d’une main à l’autre, comme la beauté passe d’un visage vieilli à un plus jeune, et comme l’éclat du bel esprit d’hier passe au bel esprit du jour. […] De Pure nous a dit d’elles : Ce sont des beautés, ce sont des muses. Voyons la morale qu’elles observent comme beautés. […] Celles qu’on appelle simplement des beautés, ont pour but principal de charmer les veux.