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16. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174

De Pure dit d’elles : Ce sont des beautés, ce sont des muses. […] C’est en effet une aristocratie que la société où le pouvoir passe d’une main à l’autre, comme la beauté passe d’un visage vieilli à un plus jeune, et comme l’éclat du bel esprit d’hier passe au bel esprit du jour. […] De Pure nous a dit d’elles : Ce sont des beautés, ce sont des muses. Voyons la morale qu’elles observent comme beautés. […] Celles qu’on appelle simplement des beautés, ont pour but principal de charmer les veux.

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