Nous dirons maintenant aux honnêtes gens : Quelle beauté dans un art où l’on ne peut exceller sans honte4 ? […] Les curés de Paris, avertis des beautés de l’ouvrage, s’alarmaient de plus en plus. […] On ne le peut lire, et encore moins sans doute pouvait-on l’entendre, sans reconnaître la beauté, la force et la justesse de cette expression. […] La profondeur morale de l’œuvre leur parait supérieure encore à sa beauté littéraire. […] On n’est pas tous les jours disposé à perdre une cause pour la seule beauté du fait !