Je sais qu’il est beau d’affecter le cœur dans une comédie ; qu’un Auteur doit s’étudier à l’attacher, à l’intéresser. […] Julie feint de se prendre subitement de belle passion pour M. de Pourceaugnac, & de vouloir l’épouser malgré son pere ; ce qui acheve de persuader au futur que sa future est une égrillarde.