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168. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Il était de moyenne taille, d’une assez belle figure, mais extrêmement pâle. […] La Thorillière était un grand et bel homme, qui jouait parfaitement les rois et les paysans. […] Cette actrice était belle, avait beaucoup de grâces, et possédait le talent de la danse, bien plus rare à cette époque qu’il ne l’est aujourd’hui. […] Cette actrice était belle, fort aimable pour tout autre que pour son mari, auquel son talent ne la rendait point indigne d’être associée, et d’une coquetterie excessive. […]                                           Belles railleries !

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