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165. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

La vanité qui à pris dans la bourgeoisie un ton plus haut qu’autrefois, traite de grossier tout ce qui n’a pas l’air du beau monde. […] Mais cette belle édition est fort susceptible d’être perfectionnée à plusieurs égards. […] Leurs trois talens ne formoient qu’un esprit Dont son bel art enrichissoit la France. […] Ils méritent qu’on les méprise assez pour leur laisser cette estime flétrissante, qu’ils ambitionnent comme leur plus beau titre, d’hommes singuliers. […] Ils ont eu plusieurs belles pensées, qu’ils ont trouvées fausses, lorsque leur ardeur ralentie leur a permis de les examiner avec une attention plus exacte & plus sérieuse.

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