C’est à Philinte que vont ces exclamations : « Vous avezle frontde trouver cela beau… Eh quoi ! […] On connaît l’avare qui, à un sermon pathétique sur la charité, s’écria : « Que c’est beau ! […] Je vis de bonne soupe et non de beau langage. […] Voilà de belles drogues que des jeunes gens, pour les aimer ! Ce sont de beaux morveux, de beaux godelureaux, pour donner envie de leur peau, et je voudrais bien savoir quel ragoût il y a à eux ?