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3. (1716) Projet d’un traité sur la comédie pp. 110-119

J’avoue que les traits plaisants d’Aristophane me paraissent souvent bas. […] Serait-ce la basse plaisanterie de Plaute, que César aurait voulu trouver dans Térence ? […] Térence se borne à représenter des vieillards avares et ombrageux, de jeunes hommes prodigues et étourdis, des courtisanes avides et impudentes, des parasites bas et flatteurs, des esclaves imposteurs et scélérats. […] Despréaux, que Molière, qui peint avec tant de beauté les mœurs de son pays, tombe trop bas, quand il imite le badinage de la Comédie italienne : Dans ce sac ridicule, où Scapin s’enveloppe,Despr.

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