L’Avare, Les Précieuses ridicules, passèrent dans les dialectes et les patois populaires de l’italien. […] Qu’y a-t-il au fond de plus sombre que le Tartuffe, L’Avare, Le Misanthrope ? […] L’Avare et Le Malade ont été traduits en Russie, en Roumanie, en Serbie, et j’ai satisfait mes auditeurs, en Russie, au point qu’après le monologue de la cassette volée dans L’Avare, c’était des huit et dix rappels. […] Car en voilà assez de cette idée fausse de jouer tragiquement L’Avare. […] Ainsi, L’Avare se termine par une double reconnaissance, et le récit d’où elle est tirée est d’une insupportable longueur.