Le texte de l’Avare a été également respecté. […] La femme du médecin, plus avare que susceptible de honte, aima mieux se retirer que de payer sa place. […] Cependant il ne saisissait pas toujours le public d’abord ; il l’éprouva dans son Avare. […] » Mais Molière fut bien vengé de ce public injuste et ignorant quelques années après : il donna son Avare pour la seconde fois le 9 septembre 1668. […] Il paraît, d’après le registre de la Comédie-Française, que l’Avare ne fut pas représenté avant le 9 septembre 1668.