Elle est malheureusement pour son Auteur une copie de l’Avare de Moliere. […] Frosine quitte le parti de l’Avare pour celui des jeunes amants ; Brichone en fait autant. L’Avare prête à gros intérêt, l’emprunteur est son fils ; Harpin & Clitandre se trouvent dans le même cas. […] Nous disons que d’Ancourt l’a prise dans Moliere, parceque celle de l’Avare est plus connue que toutes les autres.