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227. (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12

est fort excusable de se flatter d’être de son pays, et que le Languedoc confine à la Gascogne, j’appellerai mieux que Mirèio, son propre auteur, à la rescousse, pour insinuer que les leçons de langue provençale risquent de s’égarer en route en venant de Poméranie à mon adresse. […] Mascarillo n’est pas dans Mirèio, après tout ; et c’est en vain qu’il se trouve du reste dans le Dictionnaire provençal français de l’auteur de ladite Mirèio, sous la forme expresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (Tome II, page 289) !

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