Nous pouvons avoir quelques comédies assez bonnes dans ce genre, mais les Auteurs qui les ont faites se sont tous répétés. […] Il y a dans un très grand nombre de pieces intriguées par des déguisements, un vice que nos prédécesseurs tiennent de nos voisins : il a été toléré dans la renaissance des Lettres en France, mais il feroit certainement siffler aujourd’hui un Auteur.