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70. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

Ces lazzi, quoique inutiles à la scène, parce que si Arlequin ne les faisait pas, l’action marcherait toujours ; quoique absolument inutiles, dis-je, ne s’éloignent point de l’intention de la scène, car, s’ils la coupent plusieurs fois, ils la renouent par la même badinerie qui est tirée du fond de l’intention de la scène. » Les lazzi auraient dû, en effet, être toujours suggérés par la situation ou tout au moins d’accord avec elle.

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