Evandra, au désespoir, s’écrie : attends-moi, Thimon, je suis à toi ; & elle se tue. […] On a mis du complot un subtil Napolitain nommé Sbrigani, qu’on voit venir, & qui nous apporte des nouvelles ; nous les attendons déja avec impatience. […] Nous y serions-nous attendus ? […] Oronte, que lui & une douzaine de marchands de sa nation attendent avec impatience le mariage de M. de Pourceaugnac, parcequ’il a promis de les payer avec la dot qu’il doit toucher. […] je m’y attends bien.