Regnard rapporte les dernières paroles de Boileau, adressées à ses vers : « O vous, mes tristes vers, noble objet de l’envie, Vous dont j’attends l’honneur d’une seconde vie! […] Une distraction ressemble à une autre, et dès que le Distrait est annoncé pour tel, on s’attend, lorsqu’il paraît, à quelque sottise nouvelle.