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114. (1884) Tartuffe pp. 2-78

Il n’a pas un denier vaillant, et, comme le prophète Élie, il attend des corbeaux sa subsistance. […] Au reste, le texte est là : Dorine ne se lasse pas de nous peindre l’homme, et vous savez si elle a la touche grasse : Tartuffe a le teint frais , tirant sur la fleur , la bouche vermeille , et beaucoup plus qu’un petit commencement d’embonpoint ; il est gros et gras  : attendez un peu, Molière dirait entripaillé. […] Voilà où en veut venir Molière ; attendu que le sujet de sa pièce, c’est Tartuffe dans la maison, au foyer, dans la famille.

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