Il n’a pas un denier vaillant, et, comme le prophète Élie, il attend des corbeaux sa subsistance. […] Au reste, le texte est là : Dorine ne se lasse pas de nous peindre l’homme, et vous savez si elle a la touche grasse : Tartuffe a le teint frais , tirant sur la fleur , la bouche vermeille , et beaucoup plus qu’un petit commencement d’embonpoint ; il est gros et gras : attendez un peu, Molière dirait entripaillé. […] Voilà où en veut venir Molière ; attendu que le sujet de sa pièce, c’est Tartuffe dans la maison, au foyer, dans la famille.