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96. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

C’est ainsi qu’il ne s’en est point pris au libertinage ou à la débauche ; il ne s’en est point pris à l’ambition ; on ne voit pas même qu’il ait manifesté l’intention de les attaquer jamais. […] Aussi est-il difficile de nier qu’en écrivant Tartufe, il ait attaqué le jansénisme, et, dans le jansénisme, nous l’allons voir maintenant, la religion même.

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