Voici ses termes : « Il attaqua (Molière) encore les mauvais médecins par deux pièces fort comiques, dont l’une est Le Médecin malgré lui, et l’autre Le Malade imaginaire. On peut dire qu’il se méprit un peu dans cette dernière pièce, et qu’il ne se contint pas dans les bornes du pouvoir de la comédie : car au lieu de se contenter de blâmer les mauvais médecins, il attaqua la médecine en elle-même, la traita de science frivole, et posa pour principe qu’il est ridicule à un homme d’en vouloir guérir un autre. […] Perrault avait un frère médecin, et voilà sans doute la raison pour laquelle il attaqua Le Malade imaginaire.)