Suivant les progrès du temps, l’art dramatique s’agrandit bientôt. […] La première partie de l’art dramatique, appelée comédie, fut consacrée à corriger les hommes, à attaquer leurs vices, leurs ridicules. […] Il faut enfin dominer les hauteurs de l’art dont on traite, et en embrasser toute l’étendue. […] L’art le pressait ; il en a reculé les bornes, il en a agrandi l’étendue. […] Si la comédie de caractère et celle de mœurs sont bien distinctes, tous les deux exigent les plus grandes connaissances de l’art dramatique.