Ses admirateurs doivent estime et reconnaissance à tous les auteurs que nous citons ici : De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 1772 ; Étude sur Molière, 1802. […] Il leur falloit un comédien Qui mit à les polir son art et son élude : Mais, Molière, à la gloire il ne manquerait rien, Si, parmi leurs défauts que tu peignis si bien, Tu les avois repris de leur ingratitude.