entre l’art d’amuser et celui d’intéresser ; entre le frivole avantage de montrer de l’esprit, et le talent d’en donner ! […] Dans cette période de splendeur pour le royaume, les arts y furent rois en honneur et les plaisirs enivraient la cour. […] La Chaise, ni les jésuites, ni le clergé tout entier ne seraient parvenus à la faire épouser si elle n’eût charmé le roi ; et il était fort possible que sans leur secours elle réussît par l’art uni à ses charmes.