Tragédies et comédies sont régies par la loi unique de l’art, la loi unique de la vie humaine ; la forme diffère, l’essence est une. Que demandons-nous à l’art ? […] Nous savons aujourd’hui que l’art est le glorieux langage de l’humanité créatrice. […] L’art et l’amour s’étaient détachés de l’infini ; l’unité régnait au commencement, elle régnera à la fin. […] L’art, comme l’homme, étouffe si l’espace lui est interdit.