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134. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Celui à qui ces choses sont arrivées ne fut certainement pas un pauvre hère, faisant son métier de moqueur, à ses périls et risques, exposé à la vengeance et craignant le désaveu. […] Combien de détours pour arriver, après quelques éclairs de verve comique, à choir honteusement dans une œuvre héroïque et galante ! […] Lorsqu’elle arriva, c’était fini. […] En même temps que Molière, était arrivé à Paris un chanoine plus jeune que lui de quelques années et qui s’était fait aussi un nom dans la province. […] Combien de fois, Seigneur, m’est-il arrivé de goûter avec suavité l’abondance de ces consolations célestes dont vous êtes la source, et qui sont déjà sur la terre un paradis anticipé ?

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